De L'EAU !
La Guadeloupe vit depuis plusieurs décennies une situation complètement anachronique, où une commodité aussi vitale que la distribution d’eau n’est pas assurée dans des conditions dignes d’une collectivité territoriale de la République.
Cette compétence, communale à l’origine, est exercée dans le plus grand désordre et avec une efficacité très contestable par une kyrielle d’organismes. Le gaspillage de l’eau et sa non-disponibilité régulière sur une bonne partie du territoire exaspèrent la population et les professionnels.
A ce point d’insuffisance, seule une modification fondamentale du dispositif est possible. La création d’un organisme unique de l’eau gérant les différentes phases de mise à disposition (captage, traitement, transport, distribution, facturation) se substituerait aux multiples structures existantes.
Sa gestion inclurait, outre les collectivités, les clients, les professionnels particulièrement concernés (tourisme, agroalimentaire…) et les salariés. Le nouveau réseau, largement reconfiguré, serait financé par un redéploiement des fonds disponibles (FEDER, contrats de plan, plans d’investissement des collectivités…) au profit de cette commodité primordiale qui, outre l’inconfort que son absence génère, pourrait, en cas de persistance de la situation, provoquer des dégâts économiques majeurs.
Une consultation de type référendum local pourrait conforter les initiatives allant dans le sens de cette évolution.
Cette compétence, communale à l’origine, est exercée dans le plus grand désordre et avec une efficacité très contestable par une kyrielle d’organismes. Le gaspillage de l’eau et sa non-disponibilité régulière sur une bonne partie du territoire exaspèrent la population et les professionnels.
A ce point d’insuffisance, seule une modification fondamentale du dispositif est possible. La création d’un organisme unique de l’eau gérant les différentes phases de mise à disposition (captage, traitement, transport, distribution, facturation) se substituerait aux multiples structures existantes.
Sa gestion inclurait, outre les collectivités, les clients, les professionnels particulièrement concernés (tourisme, agroalimentaire…) et les salariés. Le nouveau réseau, largement reconfiguré, serait financé par un redéploiement des fonds disponibles (FEDER, contrats de plan, plans d’investissement des collectivités…) au profit de cette commodité primordiale qui, outre l’inconfort que son absence génère, pourrait, en cas de persistance de la situation, provoquer des dégâts économiques majeurs.
Une consultation de type référendum local pourrait conforter les initiatives allant dans le sens de cette évolution.
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